Far breton : la recette facile et rapide à réussir à tous les coups
Vous rêvez d’un dessert simple qui réunit tout le monde autour de la table ? Le far breton coche ces cases, avec une pâte fluide, une cuisson sereine et une saveur qui apaise. Ainsi, vous obtenez un classique breton qui supporte bien les imprévus du quotidien sans sacrifier la gourmandise.
Secrets d’un far breton express et moelleux
Pour aller vite tout en gardant une belle mâche, pensez pâte à crêpes : farine, œufs, sucre et lait, fouettés sans forcer. Le far breton gagne en souplesse si le lait est légèrement tiède. De plus, un moule bien beurré aide à former cette bordure dorée que tout le monde réclame. Comptez une préparation d’environ 10 min, ce qui est idéal un soir de semaine.
La texture vient autant du mélange que du repos. Laissez poser la pâte 10 à 15 min si possible ; les bulles d’air s’apaisent, la farine s’hydrate mieux. En revanche, évitez de trop battre, ce qui durcit à la cuisson. Ainsi, la surface restera nacrée, et la mie bien tendre.
La chaleur du four structure l’appareil, pas la quantité de farine. Préchauffez à 180 °C pour une cuisson régulière. Insistez sur la bordure : plus le moule est chaud, plus le contraste cœur/fond est marqué. Le far breton s’apprécie tiède ou froid, selon vos habitudes.
« Simple, franc et réconfortant, idéal le dimanche. »
Cuisson, moule et prunes : ce qui change tout dans le far breton
La taille du moule décide de l’épaisseur : petit moule, dessert plus haut, temps de cuisson plus long. Par conséquent, vérifiez le centre : il doit vibrer souplement, sans être liquide. Aussi, un moule métallique réagit plus vite qu’un plat en céramique. Une fine pellicule de sucre au fond favorise une base légèrement caramélisée.
Avec des pruneaux, répartissez-les sur la pâte, sans les tasser. Néanmoins, réhydratez-les quelques minutes si vous les trouvez secs. En bref, la version « nature » garde tout son charme, plus vanillée et lactée. Vous pouvez parfumer avec un trait de rhum, si le contexte s’y prête.
- Préchauffez le four à 180 °C avant de verser l’appareil.
- Beurrez généreusement le moule, puis sucrez-le légèrement.
- Lait tiède : mélange plus souple, grumeaux limités.
- Repos de 10–15 min : mie fondante au service.
- Cuisson environ 45–50 min, selon l’épaisseur.
Étapes claires pour un far breton réussi
D’abord, pesez calmement les ingrédients et sortez les œufs du réfrigérateur. Versez le lait sur les poudres, en trois fois, pour éviter les grumeaux. Ensuite, terminez au fouet à main, jusqu’à une pâte lisse. Cette base conduit à un far breton qui se tient bien, sans excès de farine.
Pendant que le four monte, beurrez le moule et saupoudrez-le d’une pincée de sucre. Ainsi, vous encouragez une croûte fine et dorée. Puis versez la pâte en une fois, sans remuer après l’ajout éventuel des pruneaux. Surveillez la coloration plutôt que l’horloge.
La cuisson se lit à l’œil : bordures brun doré, centre tremblotant. Laissez tiédir 15–20 min avant de couper, pour fixer la mie. En bref, un couteau ressort quasi sec, avec une trace crémeuse. Le far breton gardera son moelleux jusqu’au lendemain.
Variantes douces sans trahir l’esprit du far breton
Une pointe de vanille ou de zeste de citron donne de la profondeur. En revanche, évitez de multiplier les ajouts sucrés, qui alourdissent l’appareil. Aussi, une cuillerée de sucre brun en surface amène une brillance discrète. Restez sur des apports mesurés pour préserver l’équilibre laitier.
La farine de blé noir intrigue, mais utilisez-la en petite part si vous testez. Par conséquent, privilégiez la farine de blé pour la base, plus souple. Néanmoins, quelques dés de pomme peuvent fonctionner avec une pâte bien hydratée. Cette sobriété met en avant le caractère du far breton.
Service, conservation et organisation pour la semaine
Servez tiède, coupé en 6 à 8 parts, selon l’épaisseur choisie. De plus, une cuillère de crème fraîche attendrit les angles si vous le servez froid. Pour un pique-nique, laissez refroidir complètement puis emballez serré. Le far breton voyage bien si la cuisson est suffisante.
Au goûter, coupez en rectangles et poudrez d’un voile de sucre. Ainsi, chacun se sert sans contrainte, même les plus pressés. Désormais, vous pouvez prévoir une fournée le samedi pour tout le week-end. Un café ou un thé peu infusé équilibre la douceur.
Pour la conservation, placez au frais une fois refroidi, dans une boîte fermée. Par conséquent, comptez 48 heures de tenue optimale. Réchauffez quelques minutes à 150 °C si vous aimez le servir tiède. Le far breton reprend alors une texture souple et parfumée.
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