Kate Middleton porte 7 bijoux iconiques ayant appartenu à Lady Diana

Kate Middleton porte 7 bijoux iconiques ayant appartenu à Lady Diana
Kate Middleton porte 7 bijoux iconiques ayant appartenu à Lady Diana - Crédit photo © Paris Select Book

Dans la monarchie, chaque parure porte une histoire intime. Ainsi, les bijoux iconiques de la princesse de Galles relient deux générations et deux époques. Pourtant, cette transmission demande contexte, précision et mémoire partagée par le public.

De Diana à Catherine : un héritage joaillier vivant

Première pièce, la bague de fiançailles en saphir et diamants. Signée Garrard, ces bijoux iconiques réunissent un saphir de 12 carats entouré de 14 diamants sur or blanc. En 1981, Charles l’offre à Diana; en 2010, William la confie à Catherine, donnant une continuité visible au récit familial.

Autre repère, le diadème Lover’s Knot de la reine Mary, chéri par Diana. Porté par Catherine lors de banquets d’État et de réceptions officielles, il incarne une élégance constante. Désormais, on associe cette tiare à sa silhouette lors de la réception diplomatique de fin d’année, notamment depuis 2015.

Perles en héritage : élégance et diplomatie

Les boucles d’oreilles Collingwood mêlent perles et diamants, avec une sobriété étudiée. Cadeau du joaillier en 1981, elles reviennent pour Trooping the Colour et les commémorations du Remembrance Day. Ainsi, ces bijoux iconiques marquent les moments solennels et les hommages publics.

« La parure devient mémoire quand elle circule d’une génération à l’autre. »

Autre pair historique, les pendants en perles des mers du Sud. En 2019, Catherine les arbore aux BAFTA avec une robe Alexander McQueen, pour un clin d’œil assumé. Par conséquent, la filiation stylistique reste lisible, sans pastiche ni copie.

La constellation saphir : héritages adaptés

Au début des années 1980, Diana reçoit un set saoudien en saphirs et diamants. Certaines pièces, souvent attribuées à cet ensemble, ont été adaptées et modernisées pour un usage actuel. Par conséquent, Catherine porte un pendentif et des pampilles que beaucoup classent parmi des bijoux iconiques.

  • Saphirs taille ovale ou cabochon, sertis de diamants lumineux.
  • Provenances évoquées par des archives photo et des catalogues d’époque.
  • Ajustements contemporains réalisés après 2010, pour l’ergonomie.
  • Occasions majeures : dîners d’État, galas de charité, remises de prix.
  • Matériaux nobles : or blanc, diamants calibrés, perles sélectionnées.

Dès 2011, elle apparaît avec des boucles saphir remodelées en gouttes, à la ligne épurée. Selon la presse spécialisée, elles pourraient provenir d’anciens clous portés par Diana et réassemblés. En revanche, la Cour ne confirme pas systématiquement ces attributions, préférant la discrétion.

Le bracelet trois rangs de perles signé Nigel Milne date de 1988, pièce remarquable de son époque. Catherine l’a choisi en Allemagne en 2017, lors d’une réception officielle, renforçant le dialogue avec le passé. Ainsi, ce retour illustre la circulation de bijoux iconiques dans le temps et dans l’espace public.

Signes et symboles au présent

Une broche saphir cerclée de diamants se porte parfois en pendentif, dans un esprit contemporain. L’attribution à Diana revient souvent dans les articles spécialisés et les bases d’images. Pourtant, les inventaires officiels restent discrets, afin de préserver la cohérence des collections.

Ces choix soulignent une stratégie d’image, sobre et lisible, au service de la fonction. Aussi, la princesse relie le présent à la mémoire par des bijoux iconiques et des gestes répétables. Par conséquent, chaque apparition s’inscrit dans un récit partagé, vérifiable et attendu.

Ce que ces pièces racontent

Ces 7 pièces racontent la continuité, entre deuils, joies et service rendu. De plus, elles rassurent un public attaché aux repères visuels et aux traditions. En bref, elles offrent un langage commun, compris des observateurs comme des institutions.

Réparations, remises à taille et montures neuves prolongent la vie des pièces, sans les trahir. Ainsi, le luxe devient durable quand il respecte l’archive, la technique et l’usage réel. Désormais, ces bijoux iconiques portent aussi une idée de sobriété et de responsabilité.

Pour le lecteur, les dates, lieux et artisans restent des repères fiables et concrets. Aussi, croiser photos, communiqués et catalogues aide à éviter les confusions d’attribution. Par conséquent, la prudence éditoriale honore l’objet, la lignée et leur histoire commune.

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