Cannes : l’hommage étincelant de Chopard au 7e art
Depuis 27 ans, Chopard ne se contente pas de faire briller les stars à Cannes. La Maison suisse incarne un lien intime et créatif entre joaillerie et cinéma.
Une Palme née d’une vision artistique
Tout commence en 1997, lorsqu’une intuition de Caroline Scheufele bouleverse les codes : elle imagine une nouvelle Palme d’or, désormais emblématique du Festival de Cannes. Forgée dans de l’or éthique, posée sur un cristal de roche taillé à la façon d’une émeraude, cette œuvre symbolique devient le cœur battant de l’alliance entre Haute Joaillerie et 7e art.
Depuis 1998, Chopard façonne chaque année les trophées cannois, perpétuant un savoir-faire rare dans ses ateliers genevois. En 2025, ce lien se prolonge avec une intensité renouvelée.
Red Carpet Collection : 78 créations pour 78 éditions
En parallèle de la Palme, Chopard présente sa Red Carpet Collection, vitrine annuelle de son audace créative. Cette année, 78 pièces uniques ont vu le jour, autour du thème “Caroline’s Universe”. Un voyage personnel entre cultures du monde, formes poétiques et éclats de pierres précieuses.
Ce mélange d’élégance et d’imaginaire a habillé les plus grandes stars, lors de la grande soirée Chopard du 19 mai, véritable moment de grâce sur la Croisette.
L’avenir du cinéma aussi à l’honneur
Chopard ne se contente pas de célébrer les stars établies. Avec le Trophée Chopard, remis le 16 mai, la Maison distingue deux jeunes talents : Marie Colomb et Finn Bennett. Une cérémonie présidée par Angelina Jolie, marraine de prestige, et reflet de l’engagement de Chopard pour les artistes de demain.
Un festival dans le festival
Des joyaux aux flûtes de champagne, Chopard orchestre son propre récit cannois. Sur le rooftop de l’Hôtel Martinez, la Maison reçoit dans une ambiance raffinée mêlant Perrier-Jouët, Nespresso, vins de Monestier La Tour et design automobile signé Genesis. Sans oublier son élégante présence au gala amfAR à l’Hôtel du Cap-Eden-Roc.
Chopard, cœur joaillier du Festival
À Cannes, Chopard ne défile pas, il incarne. À chaque édition, il rappelle que le cinéma est un art d’émotion… et de lumière.
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