Eternity, le film A24 porté par Elizabeth Olsen, bientôt sur nos écrans

Le studio A24 dévoile « Eternity », un drame romantique existentiel avec Elizabeth Olsen, Miles Teller et Callum Turner. Une histoire qui mêle amour et au-delà.

A24 frappe une nouvelle fois fort. Après Challengers et Materialists, la société indépendante revient avec Eternity, un film qui s’annonce aussi poétique que troublant. Ce long-métrage réalisé par David Freyne, co-écrit avec Pat Cunnane, pose une question déchirante : que se passe-t-il après la mort si l’amour est encore à trancher ?

Un concept audacieux et existentiel

Dans Eternity, chaque âme dispose d’une semaine après sa mort pour choisir où — et surtout avec qui — passer l’éternité. Joan, incarnée par Elizabeth Olsen, doit alors trancher entre son premier amour, Luke (Callum Turner), qui l’attend dans l’au-delà, et Larry (Miles Teller), l’homme avec qui elle a vécu une vie entière.

Un choix douloureux, dans un décor entre rêve et réalité. Ce pitch, à la fois romantique et métaphysique, s’annonce comme un terrain fertile pour les dilemmes émotionnels, la mémoire, le deuil, et le sens du véritable amour.

Une distribution à fort potentiel

Avec Elizabeth Olsen en tête d’affiche, le film attire naturellement l’attention. L’actrice, révélée par WandaVision et adulée pour son jeu nuancé, promet une interprétation sensible et intérieure. Callum Turner, vu dans The Boys in the Boat, incarne avec justesse un amour figé dans le temps. Quant à Miles Teller, il revient ici dans un registre romantique, loin de ses rôles plus physiques (Whiplash, Top Gun: Maverick), pour incarner la stabilité et l’attachement profond.

Une esthétique A24 dans toute sa splendeur

Produit par Star Thrower Entertainment et distribué par A24, le film s’annonce fidèle au style du studio : esthétique léchée, narration fine et dialogues ciselés. Le scénario figurait d’ailleurs sur la Black List 2022, qui recense les scripts les plus prometteurs de l’année.

Et à Paris, alors ?

Les films A24 bénéficient souvent d’avant-premières parisiennes dans les cinémas indépendants. On peut s’attendre à une projection au Reflet Médicis, à L’Arlequin, ou encore à UGC Les Halles, repères des cinéphiles.

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