French Bloom, l’effervescence sans alcool qui séduit la Formule 1… et Paris

Avec French Bloom, Constance Jablonski et Maggie Frerejean-Taittinger imposent un nouveau rituel dans l’univers codifié de la F1. Un pari audacieux qui résonne aussi à Paris, où la sobriété devient un art de vivre chic.

C’est une première dans l’histoire de la Formule 1 : un vin effervescent sans alcool devient boisson officielle des célébrations. Et derrière cette innovation, deux Françaises à la vision ambitieuse : Constance Jablonski, mannequin de renommée internationale, et Maggie Frerejean-Taittinger, entrepreneure issue du monde du vin. Ensemble, elles ont fondé French Bloom, une alternative festive pensée pour une génération en quête de plaisir… sans compromis.

Une révolution douce dans un monde de vitesse

Si la F1 rime souvent avec champagne sabré, French Bloom veut en proposer une version 0.0% aussi luxueuse qu’inclusive. La boisson sera présente dans toutes les loges officielles pour les dix prochaines saisons. Ce partenariat a été facilité par l’entrée de Moët Hennessy au capital de la maison en 2024. Depuis, French Bloom trace sa route de Monaco à Austin, sans jamais perdre de vue son objectif : permettre à tous de trinquer.

La performance est technique autant que culturelle. « Même pop, même mousse, même pression, » explique Constance Jablonski. Pour les fondateurs, le sans alcool n’est plus une option secondaire mais une expression contemporaine du luxe.

Paris, bastion discret de la sobriété élégante

À Paris, où les dîners mondains, les vernissages et les aftershows de défilés rythment les soirées, French Bloom trouve un écho tout particulier. Dans une ville où le vin est une institution, imposer un vin désalcoolisé relevait il y a peu de la provocation. Mais les temps changent. De Saint-Germain-des-Prés au Marais, la jeunesse dorée parisienne veut pouvoir boire « moins mais mieux ».

Plus qu’une boisson, French Bloom s’inscrit dans un mouvement culturel. Celui d’une génération qui célèbre sans excès, revendique le bien-être, et refuse que la fête exclue. Pour Constance Jablonski, il ne s’agit pas de bannir l’alcool, mais d’ouvrir le champ des possibles, surtout dans un cadre international, où les cultures et pratiques varient.

A lire aussi : Veuve Clicquot x Jacquemus : une collaboration solaire autour de La Grande Dame

Rédigé par , le

Aucun commentaire

Publier un commentaire

Participez toujours dans le respect de la loi et des personnes.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Partager sur

Suivez-nous sur Instagram